20h52 : Plusieurs représentants de syndicats surgissent devant Le Fourneau . Cercle fermé des terroristes corses (CFTC), Confédération générale des truands (CGT), Force outrageante (FO) et d’autres encore, à chacun ses intérêts, leur seul point commun : ce sont des canailles, des hors-la-loi. Ils décident ensemble lors de cette assemblée générale d’organiser une grève du crime. Commence alors une déambulation sur le port de Brest, l’occasion d’observer les conséquences de cette grève. La "radio de chez vous" se fait porte-parole de la ville et le constat est alarmant : l’absence de criminels crée une panne policière, judiciaire, médiatique et politique... En clair, on s’ennuie.
Comment remédier à cette situation ? Peut-être que nos bandits feraient mieux de revenir...
Décalé, comique et réaliste, Grève du crime aura ravi le public brestois, venu en nombre.